Contexte

De grands changements de société s'opèrent par l’usage massif des nouvelles technologies de l’information. En même temps de nombreuses dérives apparaissent qu'il devient nécessaire de cadrer.

Les entreprises mondialisées qui dispensent des services coopératifs d’information (Facebook, Amazone, Tweeter et les autres) utilisent des logiciels propriétaires, détiennent un quasi-monopole et acquièrent un contrôle exorbitant sur les flux et les données. Loin de valoriser les communs et de favoriser l’intelligence collective, ils captent l’énorme richesses des « big data » tout en ne payant ni taxes ni impôts.

Cette apparente gratuité cache en fait de nouvelles formes du capitalisme qui utilise « l’intelligence artificielle » pour nous transformer en produits.

L’enjeu est de taille car c’est également une révolution industrielle qui est en cours avec de nombreuses possibilités de développement et de postes qualifiés à pourvoir. Pour que cesse la fuite des jeunes ingénieurs Francais vers la "vallée silicone", il est nécessaire d'adopter une politique volontariste de développement d'alternatives. Les services publiques, de l'état ou des collectivités locales, ne pourront plus très longtemps utiliser les services des GAFAMs sans apparaitrent comme manquant de vision.

Dans ce contexte, il devient crucial pour la culture, les relations sociales, la démocratie et aussi l’économie, de reprendre le contrôle sur ces technologies et d’inventer les usages qui libéreront des potentiels et favoriserons la diversité.

 

Pour offrir des outils libres de dynamisme local et de participation citoyenne, Réseaucitoyen propose un modèle ou la pérenité de la gestion des serveurs et du développement du code ouvert est assurrée par une association qui bénéficie de la stabilité économique des formules sur abonnement mensuel.

Un réseau de partenaires locaux peuvent alors s'appuyer sur des outils évolutifs, libre et durable pour animer des plateformes locales.

 

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