Pour échapper à l'emprise des GAFAM

D'anecdotique il y a encore quelques années, le sujet de l'emprise de l'usage de l'informatique sur nos vies et plus précisement de celle des multinationales culturelles sur notre culture, devient un sujet récurant.

Nombreux sont ceux qui, également parmis les décideurs, n'ont pas pris la juuste mesure du probléme. Peut être la logique libérale en a t-elle avegler certaine, mais le la main mise de sociétées de droit américain sur les données des personnes et des structures qui utilisent leurs services prétenduement gratuit, devient un eneju de politique mondiale, de statégie industrielle et, plus globalement, de richesse culturelle, donc de résiliance à l'échelle de l'humanité.

Il devient donc plus qu'urgent de disposer d'alternatives à ces services qui nous permettent de bénéficier de la potentialité de ces outils en terme d'intelligence collective, tout en ne devenant pas uniquement un produit pour les investisseurs et autres "business angels" de la silicon vallée et d'ailleurs.

De, pas assez, nombreuses associations se sont saisies du problème dont nous ne citerons que quelques unes : Framasoft, la quadrature du net et votre serviteur : Ekomundi. Elle propose une réflexion globale sur ces sujets et, pour certaines d'entres elles, des outils alternatifs qui nous permettent d'expérimenter d'autres voies. Mais il n'est pas aisé de lutter contre la facilité que représentent les réseaux sociaux dominants et les structures mondialisées du commerce en ligne ou des technologies de l'information.

De nombreuses pistes existent néanmoins qui sont généralement complémentaires : l'usages de moteurs de recherches éthiques, la maitrise minimale de sont informatique, l'utilisation de logiciels libres, le soutien aux communautées de développement, ...

L'un des écueils est la nécessité de (ré)apprendre à coopérer. Un exemple criant est montré par les difficultées que rencontre l'encyclopédie participative en lige Wikipedia. La contribution devient le fait d'expert et est de moins en moins alimenté par une profusion d'utilisateurs.

Malgé tout, il est possible d'échapper à cette emprise en questionnant nos réels besoins en matière de communication et en développeant des outils libres et une approche éthique de leur usage.